Lara Lee a lu Cléopâtre de Alberto Angela
4e de couverture
Peu de femmes peuvent se vanter d’avoir autant marqué les esprits que Cléopâtre. La dernière reine d’Égypte antique a séduit les puissants mais a surtout fait de son nom un symbole de puissance. Alberto Angela, vulgarisateur de génie, nous entraîne sur les pas de cette femme d’exception. Dans un monde antique dominé par les hommes, elle a permis au royaume d’Égypte de connaître une expansion fulgurante. Femme de pouvoir, douée dans l’art de la négociation comme dans celui de la guerre, elle est une grande stratège et une figure incroyablement visionnaire. Si, après deux mille ans, elle continue de nous fasciner et de nous inspirer, c’est peut-être parce qu’au-delà des images et du fantasme, elle est le visage de la modernité.

Mon avis
Passionnée d’Histoire, je me délectais de lire ce livre sur cette grande figure égyptienne. Si je fus conquise par la narration d’Alberto Angela, les nombreuses coquilles découlant d’une traduction approximative et d’une correction peu rigoureuse me sont restées en travers de la gorge.
Malgré tout, la plume d’Alberto Angela m’a fait plonger dans l’Égypte antique et la Rome ancienne avec plaisir. J’avais étudié Octave Auguste à l’université. Ce livre m’a fait découvrir le personnage avant qu’il ne devienne le premier empereur romain.
Si vos yeux peuvent occulter les nombreuses erreurs de français, ce livre est tout de même une belle découverte à faire… Si vous connaissez l’italien, il serait plus judicieux de le lire en version originale.
Bon d’accord, la musique qui me venait en tête en lisant ce livre n’est pas d’époque mais je n’y peux rien !