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Lara Lee a lu la douceur d'un flocon de Nathalie Brunal

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu la douceur d'un flocon de Nathalie Brunal

4e de couverture

Mya, après une déception amoureuse, décide de prendre du recul et lorsque Théophanie, la vieille tante aigrie de sa mère, se casse une jambe, elle y voit un signe du destin. Courir à son chevet lui permettra de soigner son coeur brisé. Josie, malgré la rancœur qu'elle nourrit pour sa tante, accompagne sa fille à Coldbridge. Lui ayant dissimulé son enfance sur ces terres reculées, elle craint que le coffre des secrets ne libère la vérité.


Heureusement, Sawyer, célibataire sexy, un brin espiègle, déridera les dames des Flocons acidulés et les empêchera de s'écharper.


Un soupçon d'amour, un zeste d'humour, une pointe de sarcasme, quelques griefs... et un peu de magie. Un cocktail détonnant parfait pour un moment cocooning gourmand.

PS : la couverture est différente car j'ai acheté ce kindle à sa sortie et depuis l'auteur lui a refait une jolie couverture. 

Mon avis

Fan de la plume feel good de Nathalie Brunal, c’est avec plaisir que j’ai entamé mes lectures de noël avec son dernier opus intitulé la douceur d’un flocon.

Tout est regroupé dans ce livre pour passer un bon moment : une belle histoire, des paysages magnifiques, un charmant petit village mais surtout des personnages hauts en couleurs comme sait les créer l’auteur avec une mention spéciale à Théophanie qui, avec son air revêche et ses réflexions acerbes, est plus que touchante, quoi qu’elle en dise !

Comme pour toute romance, une belle histoire d’amour est également contée entre Mya, fragilisée par sa récente rupture, mais au caractère volontaire et le séduisant Sawyer à qui mon imagination a donné les traits de… Josh Holloway ( le beau Sawyer de Lost évidemment!)

Bref, ce nouvel opus signé Nathalie Brunal est encore une réussite, un excellent feel good qui fait du bien à l’âme.

Et je vous le recommande, comme tous les livres de cet auteur dont je suis fan.

Pour illustrer ce retour de lecture, j’ai choisi Lindsey Stirling - Carol of the Bells dont la façon de jouer du violon me rappelle... la douceur d’un flocon.

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Lara Lee a lu mon mari est un matou de Jef Pissard

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu mon mari est un matou de Jef Pissard

4e de couverture :

Quand j'ai demandé à mon mari de m'aider à écrire la note de présentation de ce livre pour inciter des lecteurs à le lire, il était de dos, assis sur son cul, à observer le mur. Il a fini par tourner la tête vers moi, m'a regardé, longuement, a cligné des yeux, puis a retourné la tête back pour s'éterniser à refixer le mur. Du coup, je n'ai pas de note spéciale de présentation. Juste ce que je viens d'écrire. Mais certainement comprendrez-vous de quoi il est question.

Mimine.

EXTRAIT

Je me souviens quand j'étais enfant, j'avais un petit être fétiche et tout doux, ayant valeur de doudou, gri-gri, porte-bonheur, qui me suivait partout. Mon minou ! Il me sécurisait et m'apaisait. Eh bien, toi, dans la durée c'est pareil. Tu sais que t'étais ancré dans ma mémoire bien avant que je ne te connaisse. Tu es mon vieux tee-shirt que je veux garder, mon galet ramassé sur la plage précieusement conservé, mon stylo de communiante que je ressors pour les signatures importantes, ma vieille 2CV, mon chat en peluche, en vrai, soyeux, que j'aime à caresser, apaisée, sur mon lit. Tu facilites ma quiétude et me fais m'endormir, rassurée. Je ne prends plus de somnifère. Je n'ai pas peur la nuit.

Mon avis :

Si les hommes viennent de Mars et les femmes de Venus, selon Jef Pissard les relations homme-femme sont plutôt sur le modèle canin-félin ou Félix-Médor comme il se plaît à le décrire.

Ce livre est bourré d’humour. L’auteur s’amuse à confondre et comparer l’homme et le félin si bien que le lecteur ne sait jamais de qui il est question, du chat ou du mari de la narratrice.

Une histoire qui fait du bien et qui détend l’esprit, à l’instar d’un câlin ronronnant de félin.

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai été tentée d’aller vers la facilité et choisir « moi vouloir être chat » mais je pense que cet extrait des aristochats est plus dans l'esprit du livre…

 

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Lara Lee a lu Les Kergallen intégrale 3 Azilis, Gwenn et Athénaïs de Auraore Aylin

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu Les Kergallen intégrale 3 Azilis, Gwenn et Athénaïs de Auraore Aylin

4e de couverture :

Pour l'explosive Azilis, il prend les traits du plus improbable des prétendants : un démon avec lequel elle a déjà eu maille à partir et qu'elle ne supporte pas ! Quand ils se retrouvent coincés ensemble, ils n'ont d'autre choix que de mettre les inimitiés de côté.

À circonstances exceptionnelles, rapprochement exceptionnel : c'est ce que Gwenn et Rowan, aussi secrets l'un que l'autre, vont découvrir.

Quant à la sage Athénaïs, un minuscule objet capable d'exaucer ses vœux les plus profonds transforme sa vie de la plus inattendue et de la plus belle des façons. Encore faut-il en assumer les conséquences...

S'il y a bien une chose que les Kergallen ne connaissent pas, c'est l'ennui !

Mon avis :

Et voilà, je viens de refermer l’intégrale 3 des aventures kergalenesques de ma famille chouchou de sorcières… Et comme la première fois, ses membres me manquent déjà.

J’ai apprécié les retrouver, toujours soudés dans les nombreuses épreuves que leur impose leur vie mouvementée, mais ô combien palpitante.

Ce qui est certain, c’est que cette saga reste ma préférée de toutes et que je la relirai encore.

Si vous aimez le fantastique, la romance, les créatures en tout genre ( et on en croise beaucoup!)… cette saga est faite pour vous !

Attention ! Addictivité obligée ! Quand on lit le tome 1, on ne peut plus s’arrêter !

 

Pour illustrer ce retour de lecture, j’ai choisi VALHALLA CALLING by Miracle Of Sound ft. Peyton Parrish pour rendre hommage à ceux qui, dans l’ombre, donne la force aux femmes Kergallen : qu’ils soient chats d’argent, démon, fantôme, ange, loup, ankou ou simple mortel, ils sont devenus des Kergallen en épousant ces femmes de caractère.

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Lara Lee a lu les coquelicots de sang de Rose Morvan

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu les coquelicots de sang de Rose Morvan

4e de couverture :

« Si j’ai entrepris d’écrire à partir de maintenant ce journal, c’est pour témoigner de notre difficulté à nous insérer dans ce monde d’hommes, surtout dans le domaine de la médecine où la méfiance à l’égard de notre sexe est tenace. Nos cerveaux, paraît-il, sont inaptes à concevoir la chose médicale. Ce présupposé nous maintient dans l’infériorité intellectuelle et nous enferme dans le gouffre de l’impossible crédibilité. Les plus virulents de nos adversaires y voient une altération, une aberration même de la nature, démontrant de manière tout à fait scientifique l’incompatibilité irréfragable d’être femme et médecin à la fois ! […]
Certains confrères et mes parents ne comprennent pas mon choix. « C’est trop dur pour une femme ! » Les infirmières y sont bien, elles ! Pourquoi pas moi ? J’ai le cœur bien accroché. J’ai conscience que je devrai m’imposer dans les hôpitaux militaires pour être crédible. Cela m’est égal, j’ai le sang vif et la détermination qui l’accompagne. Je ne laisserai personne me dicter ma conduite.
C’est ma façon de remplir mon devoir de femme, de citoyenne et de médecin. »

Dans une profession exercée exclusivement par des hommes, elle a réussi à s’imposer et à devenir la meilleure dans sa spécialité.

Dans un début de siècle engoncé dans un carcan moral, social et religieux, elle a assumé qui elle était et ce qu’elle était.

Dans une société qui ne permettait pas aux femmes de vivre leurs passions amoureuses, elle a vécu les siennes en dépit de tout et de tous.

À une époque marquée par le patriarcat, elle a osé être une femme libre. Tout simplement.

Voici l’histoire du docteur Albertine Régnier, femme exceptionnelle et pourtant méconnue dont l’Histoire n’a pas retenu le nom. Il est temps de lui rendre hommage.

 

Mon avis :

Je découvre la plume de Rose Morvan avec cet opus. Je n’ai jamais aimé lire sur la guerre, quelle que soit celle-ci.

Dans ce récit sur la vie de cette femme-médecin qui est restée inconnue pour l’Histoire, la plume de Rose Morvan est sincère sans être trop horrifique, malgré les descriptions des graves blessures de ces soldats qui sont revenus défigurés du front.

Dans ce livre, nous suivons le docteur Albertine Régnier, femme chirurgien sur le front et durant l’après-guerre de 1914 à 1920. C’est un récit romancé, certes, mais c’est également un ouvrage qui transcrit la force d’une femme face à un monde paternaliste vieillissant, qui cherche sa place dans la société en exerçant un métier qui a toujours été occupé que par les hommes. Albertine Régnier sera un meilleur chirurgien que la plupart de ses confrères. Elle réussira à s’imposer dans une société où la femme n’avait de place qu’au foyer. À l’instar des femmes de son époque qui, durant la guerre, ont remplacé les hommes à l’usine ou aux champs, elle a exercé son métier en opérant les blessés et en se spécialisant dans la reconstruction faciale des grands mutilés de cette guerre.

Cette femme, en avance sur son temps, de par son métier et sa vision de la vie, assumera sa façon de vivre avant-gardiste, se heurtant avec les pensées bourgeoises de sa propre mère qui ira jusqu'à la renier.

Même si cette époque de l’Histoire ne m’a jamais passionnée, Rose Morvan a réussi à me faire lire ce joli récit sur les passions d’une femme d’une grandeur d’âme exceptionnelle. Albertine Régnier était un grand chirurgien et une femme qui, si elle avait vécu aujourd’hui, aurait été portée aux nues par ses confrères.

Un très beau livre écrit par une belle plume…

J’ai d’autres opus de Rose Morvan dans ma PAL que j’aurais plaisir à découvrir !

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi la chanson « les soldats » de Casthélémis dont les paroles « éclat d’obus dans la poitrine, les gaz ont rongé tes poumons, plus de trois millions d’orphelines, merci aux marchands de canons » entre autres soulignent fortement les horreurs de cette guerre… chanson qui conclut avec «  on n’oubliera pas que la guerre ne sera jamais la dernière tant qu’on verra ici ou là défiler l’ombre d’un soldat ».

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Lara Lee a lu Les routes de l'Est - Amours slaves - tome 1 de Aurélie Depraz

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu Les routes de l'Est - Amours slaves - tome 1 de Aurélie Depraz

4e de couverture :

Iaroslav, cours supérieur de la Volga, 908

Quand Svetlana rencontre Sweyn Eiriksson la première fois, elle le déteste pour tout ce qu’il incarne, l’arrogance, l’impudence, l’insolence et surtout, surtout, la dangerosité de sa race – celle des Hommes du Nord.
Elle est bien loin de se douter qu’à peine un an plus tard, sur les rives sud de la mer Caspienne, en plein territoire musulman, il sera le seul à pouvoir l’arracher à ce funeste destin qui semble être devenu le sien, surmonter tous les obstacles qui se dressent désormais entre elle et les siens… et lui rendre sa liberté.
Car, à présent, ce sont des milliers de kilomètres qui la séparent de son peuple. Et, au milieu… des montagnes hostiles et arides, des steppes peuplées de tribus sauvages, des forêts sombres semées de dangers… et les eaux tumultueuses du Dniepr.
Passera-t-elle outre son aversion spontanée pour l’orgueilleux Scandinave… et aura-t-elle raison de lui faire confiance ?

Mon avis :

Je retrouve avec plaisir la plume d’Aurélie Depraz dans cette nouvelle aventure qui emporte le lecteur chez les Vikings du Xe siècle.

L’histoire de Sven et Svetlana est habilement retranscrite à travers l’histoire avec un grand H des Vikings, de leur facilité à naviguer partout dans le Monde, de la Suède au Moyen Orient.

Le travail de recherche de l’auteur est si pointu que lorsque sa plume décrit un paysage, une bataille… on s’y croit.

En lisant ce roman historique, je n’ai pas retenu que la trame sentimentale mais également le magnifique voyage maritime de la Suède au marchés orientaux, et la remontée vers la Suède en empruntant les voies fluviales et terrestres tout en repoussant les attaques de l’ennemi tant sur terre que sur les eaux.

On y découvre aussi une description pointilleuse de la vie de cette époque que ce soit chez les nordiques ou les orientaux.

Comme tous les livres d’Aurélie Depraz, cet opus est à la fois dépaysant, instructif et intéressant.

Je vous recommande vivement d’aller à la découverte de sa plume !

Afin d’illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi Mädchen von Haithabu de Santiano dont la musique entraînante m’a accompagnée durant ma lecture.

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Lara Lee a lu Les Kergallen intégrale 2 Nina et Sélène de Aurore Aylin

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu Les Kergallen intégrale 2 Nina et Sélène de Aurore Aylin

4e de couverture :

Faire coexister magie et amour n'est pas toujours facile : Nina a appris cette douloureuse leçon au cours de sa longue existence. La voici lancée sur les traces du passé en compagnie de Marzhin, pour répondre enfin à la question : pourquoi diable les hommes Kergallen sont-ils dénués de pouvoirs ?

Pour Sélène, l'irruption dans sa vie d'un homme-félin en fuite va constituer le plus grand des défis : comment lui faire comprendre que tous les sorciers ne sont pas maléfiques ? Et comme si cela ne suffisait pas, voilà que ce qui ressemble fort à la poisse du chat noir s'abat sur la jeune femme.

Mon avis :

2e intégrale de ma saga chouchou 2018, je me suis replongée avec délice dans les aventures kergalenesques agrémentées par des corentinismes qui m’ont bien fait sourire. Comprendra qui lira !

En relisant ces deux tomes, tout comme les 2 premiers de l’intégrale 1, j’ai compris une chose : que cette saga reste ma saga chouchou encore en 2022 comme elle le fut en 2018 lorsque j’ai découvert la plume magique d’Aurore Aylin.

Le côté rigolo que je retiens de cette intégrale est qu’elle regroupe mes deux animaux fétiches : le dragon et le félin. Le dragon, gardien de mon imaginaire gravé sur ma peau et le félin grandement représenté chez moi par mes trois minettes.

Quant aux récits, toujours aussi extras dans le fond comme dans la forme. Je suis fan de la plume d’Aurore Aylin et je vous invite à la découvrir que ce soit avec les Kergallen ou avec la famille Nielsen.

Il me reste l’intégrale 3 à lire… et je sais que je relirai encore et encore cette saga familiale, dans les années à venir.

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, une chanson s’est imposée à moi : Tír na nÓg par Celtic Woman -ft. Oonagh. Pourquoi ? Il faut lire cet opus pour le savoir !

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Lükka : préquel à la dernière des liomages

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lükka : préquel à la dernière des liomages

Mon 15e livre est enfin en précommande et sera publié sur Amazon le 8 décembre prochain. Il s'agit du préquel à la dernière des liomages centré sur le personnage de Lükka.

 

4e de couverture : 

Depuis toujours, Lükka est différent. 

Son apparence tout d’abord, avec son crâne dépourvu de cheveux et sa voix si particulière, qui semble envoûter tous ceux qui l’écoutent.

Mais surtout, Lükka est un sayver de pierre, un magicien bâtisseur, de cette caste honnie par le Roi de Sharnie.

Afin de protéger son petit-fils de la folie royale, Elyas, conteur dirigeant une troupe de saltimbanques, prend alors la décision de fuir la Sharnie pour trouver refuge en Palvatie auprès de la Reine Celtima, qu’il a côtoyée dans sa jeunesse.

Préquel à La Dernière des Liomages, cet opus vous dévoile l’histoire de Lükka et des autres sayvers palvatiens.

Laissez-vous porter par ce chant, qui vous invite à suivre le pas des Sayvers…

Vox Clamantis de Luc Arbogast est la chanson qui m'a inspirée ce préquel. 

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Lara Lee a lu partition en noir et blanc de Florence Jouniaux et Olivia Jones

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu partition en noir et blanc de Florence Jouniaux et Olivia Jones

4e de couverture

En 1928, aux États-Unis, les jeunes filles commencent à danser au rythme du jazz et rêvent d'émancipation. Kate et Lisbeth McLann font la connaissance du pianiste Tyler Johnson lors d'un bal donné à New-York en l'honneur d'une leurs amies, Adélaïde, riche héritière de la Comtesse Shepper. Kate est alors séduite par le talent de Tyler et cherche à le revoir. Mais celui-ci, victime comme tous ses frères noirs de la ségrégation raciale et des violences à l'encontre de sa communauté, hésite...
Cette romance historique vous plongera dans l'ambiance des années folles et vous fera voyager de New-York à Baltimore et Charlottesville.

Mon avis :

Fan de la plume de ces deux auteurs qui ont co-écrit ce livre, je ne pouvais que le lire... et l’apprécier grandement.

C’est avec brio, que Florence Jouniaux et Olivia Jones plonge le lecteur dans l’Amérique des années 20, de la prohibition, de l’émergence du jazz et de la cause noire, de l’émancipation des femmes et de la décadence des grandes familles… Ce roman raconte la vie de jeunes filles de bonne famille : elles découvrent l’amour, le jazz, la liberté d’être qui elles veulent…

Co-écrit par deux femmes d’exception, ce roman fleure bon la cause féminine, même s'il met également en avant les problèmes raciaux et la future crise de 29.

Un roman mené tambour battant où on ne s’ennuie pas une seule seconde.

Une réussite !

 

Pour rester dans l’ambiance jazzy, j’ai choisi Dave Brubeck - Take Five que Tyler Johnson aurait pu jouer au piano.

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