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Lara Lee a lu Morphèa de Ludovic Metzker

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu Morphèa de Ludovic Metzker

4e de couverture :

Une ancienne légende raconte que lorsque les cauchemars envahissent l'humanité, la gardienne des rêves se réincarne dans la peau d'une jeune fille.

Orianna Sognatore est à peine âgée de treize ans lorsqu’elle est menacée par un mystérieux individu : dans son prochain rêve, elle risque de mourir.
Le terrifiant Ephialtion est de retour et compte semer le chaos dans le cœur des humains.
Conscients du danger que court Orianna, ses grands-parents lui avouent un secret qui chamboulera l'existence de leur petite-fille à jamais.


Elle est la prochaine réincarnation de la gardienne des rêves, Morphéa.

À travers des rêves sous forme de contes, les amis d'Orianna lui feront prendre conscience de l'importance d'accepter son destin et de se laisser guider par Loup et Euthéria, les fidèles protecteurs de la gardienne des rêves.

 

Mon avis :

J’ai découvert la plume de Ludovic Metzker avec le mur du temps, roman historique magnifiquement écrit que j’avais dévorée. Ensuite j’ai lu la saga des et si demain n’existait plus, et les divers autres livres de ce fabuleux auteur dont mon roman d’horreur chouchou : la grotte.

Avec Morphèa, Ludovic Metzker ajoute une corde à son arc. Cette étrange revisite des contes de notre enfance m’a, au début, un peu rebutée car je n’adhérais pas à l’histoire. Il m’a fallu quelques pages pour retrouver l’engouement que j’ai pour cette plume magnifique. C’est bien différent de ce que nous propose habituellement Ludovic mais ce livre est une petite merveille tant par la beauté du récit que pour le soin que l’auteur a pris pour la réalisation de son écrin.

Qui plus est, cet ouvrage regorge de phrases à retenir, des maximes comme : « aide toujours ceux qui sont dans le besoin » ou « certains mensonges sont bien plus rassurants que la vérité ».

Et celle que je préfère : « ce ne sont pas les étoiles qui cessent de briller, mais nous qui cessons de les regarder ».

Un livre à conseiller dès 10 ou 12 ans selon la capacité du jeune lecteur à comprendre sa lecture.

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi dépassé de Nuit Incolore dont la musique me venait en tête dès que je me plongeais dans Morphèa.

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