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livres lus en 2023

Lara Lee a lu le pacte des Marchombres, Ellana la prophétie de Pierre Bottero

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu le pacte des Marchombres, Ellana la prophétie de Pierre Bottero

4e de couverture :

Les années ont passé. Ellana a rejoint Ewilan, Salim et Edwin. Marchombre accomplie, elle accompagne Salim sur la voie. Alors qu’elle croit avoir enfin trouvé l’amour auprès d’Edwin, les démons du passé ressurgissent. S’appuyant sur une antique prophétie, les mercenaires du Chaos menacent la guilde. Et les êtres qui sont chers à Ellana disparaissent un à un…

La
 conclusion en apothéose de la trilogie du Pacte des Marchombres.

Mon avis :

Retrouver Ellana et Salim sur la voie des Marchombres alors que Gwendalavir est près de s’effondrer dans le Chaos. Mais la volonté de quelques uns unira les différents peuples pour se battre côte à côte contre un ennemi commun.

Plus de 600 pages de pur bonheur avec l’écriture magique de Pierre Bottero et sa fabuleuse saga… ce dernier tome est un crève coeur car je ne veux jamais quitter ces personnages auxquels je me suis attachée. Aujourd’hui, comme en 2009, je plussoie : cette saga de fantasy jeunesse est la meilleure jamais lue.

Extrait :

« Les assauts sauvages des envoleurs se brisaient contre la grâce des arpenteurs de la voie. Les sabres des uns sifflaient dans le vide, les poignards des autres dessinaient des œuvres de mort.

Le Chaos était tenu en échec par l’Harmonie. »

Pour clore cette fabuleuse saga, encore et toujours ce merveilleux morceau de musique qui évoque à lui seul toute la magie des livres de Bottero : Fairytale de Peter Crowley

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Lara Lee a lu le pacte des Marchombre, Ellana l'envol

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu le pacte des Marchombre, Ellana l'envol

4e de couverture :

Encore apprentie marchombre, Ellana est chargée par son maître Jilano d’escorter une caravane au chargement pré­cieux et mystérieux.

Mais au fil de ses rencontres, Ellana peine à identifier ses véritables ennemis, la Voie tend à se dérober devant elle et les choix qui engagent sa loyauté et ses sentiments se ré­vèlent périlleux.

Lorsqu’elle retrouve Nillem près du lac Chen, elle découvre les nouvelles attaches du séduisant marchombre ainsi qu’une étrange Prophétie qui les lie et les sépare à la fois...

Mon avis :

Servie par la magnifique plume de Pierre Bottero, l’histoire d’Ellana continue d’envoûter. Au cours de ses pérégrina­tions, elle côtoie des personnes qui la façonnent par leurs qualités mais aussi leurs défauts. On voit la jeune fille deve­nir femme en découvrant ses premiers émois amoureux que ce soit avec Nillem, le marchombre au caractère ombrageux ou Hurj, l’imposant guerrier thül qui ose lui ouvrir son cœur. La Guilde des Marchombres est également secouée par des querelles intestines. Qui sont les traîtres ?

Cet opus est la charnière entre l’adolescente apprentie mar­chombre et la femme marchombre accomplie que le Maître, Jilano, laisse s’envoler vers sa propre destinée. Ce passage est très émouvant.

J’ai déjà entamé le tome 3 car il est difficile de quitter Elana. J’angoisse presque de refermer le dernier tome…

 

Extraits :

« Ellana barra le chemin aux mots qui voulaient sortir de sa bouche. Elle les obligea à redevenir pensées, les sculpta jusqu’à ce qu’ils reflètent ce qu’elle venait de découvrir. Alors, seulement, elle les libéra :

L’art du Dessin n’est pas ma voie mais ceux qui la choi­sissent ont de la chance.

Jilano opina en silence.

Satisfait. »

(page 47)

 

« — Tu es libre, Ellana, et cela crée comme une lumière autour de toi. Les hommes ne s’y trompent pas et cherchent à te capturer pour s’approprier cette lumière. Parce qu’ils croient, à tort, qu’elle les éclairera, parce qu’ils sont incapables de la trouver en eux et ne supportent pas l’idée de vivre dans l’ombre, parce que le réflexe de celui qui est cloué au sol a toujours été de tuer celui qui sait voler.

Personne ne cherche à me tuer. Du moins pas ces hommes-là.

Leur désir que tu les suives revient au même. Éblouis par tes ailes et puisqu’ils sont inaptes au vol, ils rêvent que tu les sacrifies pour eux.

N’est-ce pas l’amour qui exige cela ?

Jilano secoua la tête.

Absolument pas, Ellana. L’amour consiste à ouvrir des portes et des fenêtres, pas à bâtir des prisons. »

(page 337)

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, je reste sur le morceau de Peter Crowley : Fairytale qui reste pour moi la musique de cette saga hors normes.

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Lara Lee a lu le Pacte des Marchombres, tome 1 : Ellana de Pierre Bottero

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu le Pacte des Marchombres, tome 1 : Ellana de Pierre Bottero

4e de couverture :

Seule survivante d’un groupe de pionniers après l’attaque de Raïs, au nord de l’Empire, une fillette est recueillie par le peuple des Petits. Elle grandit dans la Forêt Maison à l’écart des hommes et décide, à l’adolescence, de partir en quête de ses origines. Sous le nom d’Ellana, elle croise le plus grand des marchombres, le maître Jilano Alhuïn, qui l’initie aux secrets de sa guilde. Son apprentissage est semé d’embûches, de rencontres et d’inimitiés. Au terme d’un voyage jusqu’au Rentaï avec Nillem, autre élève marchombre, Ellana reçoit la Greffe et l’héritage marchombre. Mais des mercenaires du Chaos la traquent…

Perso, je préfère, et de loin, les premières couvertures où la signature graphique des livres de Bottero était reconnaissable de loin grâce au talent de Jean-Louis Thouard.

Mon avis :

De tous les livres de cette saga, je pense bien que c’est cet opus qui m’a le plus touchée. Je ne me souvenais que du fil de l’histoire, l’ayant lue en 2009 mais une chose m’était restée : quelle que soit la question, il y a toujours deux réponses : celle du poète et celle du savant.

Ce premier livre nous raconte Ellana, de sa petite enfance chaotique, bien qu’heureuse dans la Forêt Maison où le peuple qui l’a élevée, les Petits, m’a fait penser au film Willow, à son devenir de Marchombre, coachée par le mystérieux et excellent Jilano.

Si cette saga était portée au cinéma, elle en captiverait plus d’un tant par son contenu que par les images qu’il pourrait y avoir de Gwendalavir, pour peu que ce soit bien fait. Mais la plume de Pierre Bottero est tellement magique que si c’était projeté sur grand écran, je ne suis pas certaine qu’on ne perdrait pas de cette magie.

J’aime aussi, outre la plume magique de l’auteur, sa faculté à construire un monde tel qu’on le voit au travers de ses récits. Ce monde et ses villes : Al Vor, Al far, Al Jeit ( d’ailleurs, j’adore le fait qu’une carte bien détaillée soit présente dans le livre afin de suivre les pérégrinations de notre héroïne). Ce monde et ses peuples : les Alaviriens, peuple regroupant ceux qui vivent en Gwendalavir avec ses différentes guildes, dont celle des Marchombres, ainsi que ses dessinateurs, mais également d’autres peuples comme les Faëls (Chiam Vite), les Thüls, les Haïnouks ou les Frontaliers (Edwin et sa sœur Siam) qui ont chacun leur histoire, leurs croyances et leur façon d’être. Sans oublier évidemment les ennemis des Alaviriens et ils sont nombreux : les Ts’liches, les Raïs, les Alines, les Mercenaires du Chaos… Ce monde et ses bestioles en tout genre : les siffleurs, les coureurs, les gommeurs, et tellement de races inventées par cet auteur qui pour moi, sera à jamais le plus grand des Worldbuilders avec JRR Tolkien.

Cette saga fait partie des univers qui me font rêver même si elle n’a pas que des belles choses (le destin de Maniel, l’Homme-Lige des Gil’Sayan me restera toujours en travers de la gorge).

Je ne peux qu’encourager à la lecture de ces 9 livres toute personne aimant rêver de 9 à 99 ans.

À lire dans cet ordre :

1- La quête d’Ewilan : d’un monde à l’autre.

2- La Quête d’Ewilan : les frontières de glace.

3- La Quête d’Ewilan : l’île du Destin.

4- Les Mondes d’Ewilan : la Forêt des Captifs.

5- Les Mondes d’Ewilan : l’oeil d’Otolep.

6- Les Mondes d’Ewilan : les tentacules du Mal.

7- Le Pacte des Marchombres : Ellana.

8- Le Pacte des Marchombres : Ellana l’envol.

9- Le Pacte des Marchombre : Ellana la prophétie.

 

Pour terminer cette petite chronique, j’aimerai citer deux extraits :

« N’oublie jamais, celui qui croit savoir n’apprend plus » (page 217)

« Le Pacte des Marchombres [est] l’engagement à n’utiliser ses pouvoirs que pour progresser sur la voie et en aucun cas pour dominer les autres ». (page 247)

Et pour finir, laissons le mot de la fin à Ellundril Chariakin, l’insaisissable chevaucheuse de Brume : « La vie est une question. La voie du marchombre est tout à la fois la réponse du savant et celle du poète »( page 414)

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, je reste sur le morceau de Peter Crowley : Fairytale qui reste pour moi la musique de cette saga hors normes.

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Lara Lee a lu les Mondes d'Ewilan, tome 3 les tentacules du Mal de Pierre Bottero

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu les Mondes d'Ewilan, tome 3 les tentacules du Mal de Pierre Bottero

4e de couverture :

Ewilan et ses compagnons poursuivent leur périple vers Valingaï avec une triple mission : rendre Illian à sa famille, retrouver Altan et Elicia Gil'Sayan, et anéantir la méduse qui s'étend dans l'Imagination.
Ils traversent le désert Ourou et gagnent Hurindaï, une cité qui ne tarde pas à être attaquée et détruite par les armées de Valingaï. Les Alaviriens échappent de peu à la mort et reprennent leur voyage.
C'est à Valingaï, sur le sable des arènes, que le destin d'Ewilan, celui de ses amis, d'Eléa Ril'Morienval et de la méduse, se croiseront une dernière fois dans une confrontation sans pitié. Une confrontation où la lumière sera faite sur le passé et où se jouera l'avenir du monde.

Mon avis :

Encore et toujours sous le charme de la plume de Pierre Bottero qui m’a fait voyager dans son imaginaire avec brio.

Dans cet opus, on découvre un territoire inconnu des Alaviriens où sont envoyés en ambassadeurs Elicia et Altan Gil’Sayan, les parents d’Ewilan.

Ce nouveau monde est semé d’embûches, de bestioles en tout genre et d’exploits réalisés par nos compagnons pour survivre.

Mon coup de coeur, dans ce récit, va aux Haïnouks, peuple de navigateurs sur terre dans les plaines Souffle. Ils vivent sur d’énormes navires à roues qui bougent grâce à la force du vent violent. C’est un peuple évolué, dirigé par un conseil des femmes.

Extrait page 178 : « Les femmes sont la vraie richesse des hommes, mais trop souvent ceux-ci l’ignorent. Nous, les Haïnouks, nous le savons. C’est pour cette raison que nous sommes libres et heureux. »

extrait page 322 d’un chant haïnouk :

« Quand le vent souffle sur la plaine

Et gonfle nos voiles

Et gonfle nos cœurs

Je vogue droit vers le bout du monde.

Libre. »

Et comme toujours, face au Bien il y le Mal et dans cet opus je ne sais d’Eléa Ril’Morienval ou la Méduse, qui est le plus emblématique du Mal.

Mais mon chouchou reste toujours Edwin, le Maître d’armes de l’Empereur de Gwendalavir.

Cette saga est à lire à tout âge, dès l’adolescence.

Comme toujours, la musique de Peter Crowley accompagne mes retours sur cette saga extraordinaire de Monsieur Pierre Bottero.

 

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Lara Lee a lu la mallette de Florence Jouniaux

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu la mallette de Florence Jouniaux

4e de couverture :

Michel, enseignant, savoure ses premiers jours de vacances, tandis qu'Alena, la femme de sa vie, doit se rendre à Lyon, en tant que responsable de secteur en matériel informatique. Il a soudain l'idée de lui faire la surprise de la rejoindre à son hôtel pour un dîner en amoureux. Aussi emprunte-t-il à son insu le même train qu'elle et l'observe sans se dévoiler. Là, un étrange manège entre sa femme et l'homme qui semble l'accompagner l'intrigue : il ne comprend pas l'attention particulière que tous deux portent à la mallette de celui-ci et à celle, identique, d'un autre voyageur. Son imagination fertile déploie alors de nombreux scénarios. C'est pourquoi, vaguement jaloux, un brin inquiet et surtout curieux, il se transforme en espion...

Mon avis :

Fan des écrits de Florence Jouniaux depuis un bail, j’ai lu cette nouvelle sans regarder le 4e de couverture tellement je fais confiance à la plume de cet auteur pour me divertir.

J’ai été surprise du choix d’écrire à la 2e personne, comme si l’auteur donne des consignes à son personnage pour qu’il évolue dans l’histoire. Surprenant mais pas dérangeant.

La trame de l’histoire est simple mais humaine : se poser des questions sur la personne avec qui on vit. Mais le personnage central va faire plus que cela, il va suivre sa compagne en s’imaginant des trucs plus fous les uns que les autres. Jusqu’à une fin… mais je n’en dirai pas plus ! C’est à vous de vous faire votre propre opinion sur les écrits de ce formidable auteur. Et qui sait, peut être, en découvrant son talent aurez-vous envie de lire tous ses autres livres ?

Ps : la couverture signée Andréa B Cécil est superbe. J’adore le style de cet illustrateur !

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi la version 2007 de nothing else matters de Metallica car rien ne compte, sauf l’amour qu’on porte à l’autre… non ?

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Lara Lee a lu les thés meurtriers d'Oxford - beau thé fatal de H.Y.HANNA

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu les thés meurtriers d'Oxford - beau thé fatal de H.Y.HANNA

4e de couverture :

Lors d’un cocktail à Oxford, Gemma Rose, propriétaire d’un salon de thé, entend une conversation inquiétante quelques minutes avant qu’une étudiante de l’université ne meure empoisonnée. Simple coïncidence ? Et le nouveau conjoint de sa meilleure amie Cassie pourrait-il être impliqué ? Gemma décide de mener sa propre enquête, aidée par les vieilles commères de son village de l’Oxfordshire et par son ancien amour d’université, l’inspecteur Devlin O’Connor. Mais sa mère fait du grabuge dans le charmant salon de thé anglais de Gemma, sa meilleure amie est furieuse de la voir fouiner… et ce mystère s’avère plus intriqué qu’un bretzel au chocolat ! Gemma réalise un peu tard qu’elle pourrait bien être la prochaine sur la liste du tueur. Sauf si sa petite chatte tigrée, Muesli, parvient à la sauver...

Mon avis :

J’ai découvert les thés meurtriers un peu par hasard avec le tome 1 choux à la crim que j’ai beaucoup apprécié. Une fragrance de cosy mystery avec un soupçon de romance plane sur ces récits. Dans le premier tome, on fait connaissance avec Gemma, Muesli et les vieilles chouettes (entre autres) que l’on a plaisir à retrouver dans le tome 2, beau thé fatal. Un peu comme dans les livres d’Agatha Christie, ou la série de l’inspecteur Barnaby, un meurtre est commis dans le village où vit Gemma, propriétaire d’un salon de thé, récemment revenue en Angleterre après s’être expatriée de longues années en Australie. Dans cette histoire, tout est truculent. Les personnages secondaires (comme les vieilles chouettes qui se prennent pour Miss Marple) sont haut en couleurs, l’enquête tourne autour de l’héroïne, Gemma, ses parents, sa meilleure amie et les habitants du village où tout le monde pense se connaître. Un meurtre original, une enquête prenante, des rebondissements, et pas une seule page où je me suis ennuyée. J’aime vraiment cette plume. D’ailleurs le tome 3 est déjà dans ma PAL ( il y en a 7 pour le moment)… des enquêtes encore à lire et, en fil rouge, la romance entre Gemma et Devlin, avec Lincoln en outsider… à suivre !

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi Adele - Rolling in the Deep.

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Lara Lee a lu Les mondes d'Ewilan, tome 2 l'oeil d'Otolep de Pierre Bottero

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu Les mondes d'Ewilan, tome 2 l'oeil d'Otolep de Pierre Bottero

4e de couverture :

À Gwendalavir, Ewilan se prépare à partir pour Valingaï afin de rendre Illian à sa famille et retrouver les siens. Avec Li­ven, apprenti dessinateur, elle découvre qu’une méduse aux tentacules mortels tente de bloquer l’accès à l’Imagination. Peu à peu, un mal sourd infecte l’organisme d’Ewilan.
Elle se joint néanmoins à l’expédition, soutenue par Salim et Ellana.

Après avoir repoussé des attaques, la troupe parvient aux confins de l’Empire devant l’Œil d’Otolep. Ce lac mythique délivrera-t-il Ewilan du parasite mortel qui lui a été inoculé à l’Institution ?

Mon avis :

Même si c ‘est une relecture, j’apprécie toujours autant cette saga comme si je la lisais pour la première fois. La plume de Pierre Bottero a l’art et la manière de happer son lecteur pour l’emmener sur les spires de son Imagination.

J’aime tous les personnages de cette saga car chacun a sa place et son importance.

Dans cet opus, on suit les pérégrinations d’Ewilan et ses amis vers la mer des Brumes, à la recherche des parents d’Ewilan qui sont partis en mission diplomatique vers ces pays inconnus. Il y a toujours autant de rythme, d’actions. On ne s’ennuie jamais.

Extrait : 

« Elle parler votre langue beaucoup mieux que moi. Elle parvenir même à maîtriser ce que vous appelez conjugaison et que je nommer sadisme envers les étrangers ! »( p 131) J'adore les réparties de Chiam vite. 

Pour moi, c’est la plus belle saga pour la jeunesse. Bien meilleure que celle d’Harry Potter que j’ai pourtant appréciée de lire.

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, rien ne vaut fairy tale de Peter Crowley qui est, pour moi, la musique de cette épopée en Gwendalavir.

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Lara Lee a lu les mémoires d'un chat de Hiro Arikawa

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu les mémoires d'un chat de Hiro Arikawa

4e de couverture :

Un chat de gouttière au parler franc et rompu au langage des humains a pris ses quartiers dans le parking d’un immeuble de Tokyo. Lui qui, pour rien au monde, ne troquerait sa liberté se fait un jour percuter par une voiture et se voit contraint d’accepter la perspective d’une cohabitation durable avec Satoru, un locataire, qui le soigne et lui attribue un nom – Nana.
Cinq ans plus tard, des circonstances imprévues obligent Satoru à se séparer de Nana. Désireux de lui trouver un bon maître, il se tourne vers d’anciens camarades d’études, disséminés aux quatre coins du Japon. Commence alors une série de voyages et de retrouvailles qui sont pour Nana autant d’occasions de découvrir le passé de Satoru et de nous révéler maints aspects de la société japonaise.
Prenant et surprenant, profond et plein d’humour, Les Mémoires d’un chat est un beau roman sur l’adoption, l’amitié, et la force des liens qui unissent l’homme et l’animal.

Mon avis :

Ce livre m’a été offert en cadeau à Noël dernier. Je ne lis pas ce genre de livre habituellement. La culture japonaise ne m’intéresse pas plus que ça et, bien que je sois fan de mes trois félines, je ne lis rien sur les chats… mais voilà, je suis curieuse et quand on m’offre un cadeau, je le lis.

Et j’ai bien fait car ce livre est un vrai petit bijou. Un petit bijou que j’ai fini en pleurs hier soir tellement il est beau et prenant. Je me suis retrouvée dans le personnage de Satoru et, par bien des facettes, j’ai retrouvé le comportement de mes minettes à travers les pensées de ce chat, Nana.

Nana, nom original pour un matou mais voilà, nana c’est le chiffre 7 en japonais et le nom va bien à ce chat de gouttière recueilli par Satoru alors étudiant.

À travers les pensées du félin, on découvre la vie de son propriétaire et la culture japonaise en général. C’est bien écrit ( quoi que étrangement traduit quelque fois) et je me suis prise à dévorer ce livre.

J’aime mes chats comme Satoru et comme lui, j’ai eu la même démarche pour leur trouver une famille si jamais je venais à disparaître. C’est une coïncidence qui m’a touchée plus que je ne saurai le dire car je sais que pour beaucoup, ce n’est qu’un chat…

Il y a tellement de scènes touchantes dans ce livre que j’ai eu du mal à choisir un extrait. Mais j’aime quand c’est Nana qui parle… Hiro Arikawa ne peut être qu’un amoureux des chats pour avoir su transcrire si fidèlement le comportement félin.

J’ai beaucoup aimé la partie où la tante de Satoru, Noriko, découvre le comportement félin :

extrait page 267 :

« si vous voulez tout savoir, le toucher de Noriko n’est pas très agréable, mais pour l’encourager, je fais un peu semblant que ça me plaît. Si déjà ça pouvait lui faire passer l’envie de toujours m’attraper par la queue.

Hiii ! s’est mise à hurler Noriko en retirant sa main

Vous parlez d’une surprise, pour moi aussi Me voilà en alerte. Qu’est-ce qui se passe, enfin ?

Sa gorge ! Il y a un os qui vibre dans sa gorge ! C’est bizarre !

Oh la mufle! Alors ça c’est la meilleure. Dire que je me forçait à ronronner ! »

Les autres « bons moments » étaient les interactions entre Nana et les autres animaux :

extrait page 160 :

« qu’est-ce qui t’arrive, le clebs ?Si tu cherches des noises à mon Satoru, tu vas avoir affaire à moi, je te préviens! Si tu veux pas que je te laboure la truffe, tu ferais mieux de lui demander pardon, espèce de chien ! »

Mais le plus bel extrait pour moi est celui que je vais utiliser en conclusion, celui qui dénote tout l’amour que Nana a pour Satoru.

Extrait page 299 :

« Un fier chat comme moi n’abandonnera jamais son compagnon.Et pour rester avec lui jusqu’au dernier moment, je me moque bien de redevenir chat errant.»

Merci à celui qui m’a offert ce livre car il m’a beaucoup appris sur moi-même et sur l’attachement que j’ai pour mes félines.

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi Louis Armstrong - What A Wonderful World car pour Nana, le monde a été merveilleux le temps d’avoir partagé la vie de Satoru, et il a attendu avec ses souvenirs comme ultimes compagnons le jour où il pourrait le rejoindre dans ce grand champs de fleurs.

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Lara Lee a lu immortelle tourmaline de Sylvie Grignon

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu immortelle tourmaline de Sylvie Grignon

4e de couverture :

Un tableau saccagé dans une exposition, des corps retrouvés en Dordogne. Leur seul lien : les bouches sont cousues.
L a commissaire Victoire Guinot sur ordre du Préfet de Paris et du procureur de la République va rejoindre la SRPJ de Bordeaux, ainsi que son acolyte parisienne la lieutenante Stéphanie Mauvert. L’enquête va s’avérer une fois de plus bien compliquée. Ces inspectrices, vont-elles faire face à un tueur en série ?
Ce polar dans la pure tradition mélangé à un zeste d’ésotérisme comblera tous les amateurs du genre.

Mon avis :

J’ai découvert la plume de Sylvie Grignon avec ses polars : les enquêtes de l’inspecteur Bourgnon Tome 1 : Rouge, tome 2 : Blanc et le tome 3 : Bleu. Ainsi qu’avec juste une seconde, un petit roman qui fait du bien.

Retrouvez mes avis en cliquant  ICI

J’ai donc entamé Immortelle tourmaline avec intérêt. Une histoire de sombres crimes teintés de pédophilie et de secte, une enquête de police rondement menée par deux femmes de caractère, tout est là pour en faire un bon polar.

Et je n’ai pas été déçue. Le rythme est haletant. Le plume de l’auteur donne le tempo mais pas les réponses, ce qui me porte à toujours vouloir en savoir plus.

En un mot : un bon polar comme je les aime où les réponses ne sont données qu’à la toute fin. Un bon polar que je recommande !

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, j’ai choisi Within Temptation - Shot In The Dark.

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Lara Lee a lu les Mondes d'Ewilan, tome 1 la forêt des captifs de Pierre Bottero

Publié le par Lara Lee Lou Ka

Lara Lee a lu les Mondes d'Ewilan, tome 1 la forêt des captifs de Pierre Bottero

4e de couverture :

Tandis que ses parents explorent les territoires sauvages de l’Autre monde, Ewilan se retrouve prisonnière sur terre d’une sinistre institution. Au cœur de ce laboratoire clandestin, la Sentinelle félonne Elea Ril’Morienval fomente son retour en Gwendalavir, qu’elle cherche à conquérir. Privée de son don et réduite à l’impuissance par de terribles expériences, Ewilan ne pourra compter que sur le courage de Salim pour s’échapper…

Mon avis :

Après avoir dévoré pour la seconde fois la première trilogie de Pierre Bottero, la Quête d’Ewilan, j’ai enchaîné direct avec la seconde : les Mondes d’Ewilan. Avec ce premier opus, la forêt des captifs, nous retrouvons Ewilan et Salim dans notre monde, bien loin de Gwendalavir. La jeune fille est prisonnière d’un centre qui l’utilise comme cobaye et Salim met tout en œuvre pour la sortir de là.

Je m’émerveille toujours autant de la plume de Pierre Bottero. Cet auteur sait dépeindre avec des mots simples toute une palette d’aventures qui scotche le lecteur à sa plume.

Je conseille ces livres pour tous ceux qui veulent rêver. Grands et petits car avec Pierre Bottero on devient tous des rêveurs…

Pour illustrer musicalement ce retour de lecture, je reste sur le morceau de musique qui me fait encore et toujours penser à Ewilan : Fairy tales de Peter Crowley.

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